Terma 76 : Houda Et Le Jardinier De LÉcole Du Commerce :
Je suis Houda, 18 ans et je viens de réussir, après le Bac, le concours dentrée à lEcole Supérieure de Commerce ESC. Donc je suis parti de mon village, au bled, vers la ville où je suis totalement prise en charge, à linstard de tous mes camarades filles et garçons, dans la cité spéciale de lESC, située pas très loin de lécole, une sorte dinternat libre. Au bled jétais en robe traditionnelle, hijab et khimar, mais ici, jai du me plier aux coutumes locales, donc cheveux découverts que jai du raccourcir un peu, robes plus ou moins courtes, pantalons plus ou moins blue jean donc souvent assez serrés sur les fesses, tee-short parfois qui moulent outragement mes seins assez développés et même shorts très courts et serrés pour les séances obligatoires de sport. Donc ma solhouette a complètement changée et jai fait leffort de suivre au moral et dans mes attitudes surtout avec les garçons. Heureusement que javais assez de caractère car javais vécu avec quatre frères dont deux plus âgés que moi et que jarrivais à mater quant cétait necéssaire. Donc jai réussi pendant les premiers mois à me faire éviter les avances et contacts masculins et à réprimer les langages provocateurs et osés. Donc ça marchait bien pour moi. Je me suis faite une amie, Zineb, qui venait souvent passer des heures dans ma chambre où on pouvait travailler, reviser et parler de tout et rien. Elle shabillait comme moi mais parlait toujours de ses envies et lisait des livres de sexe et apportait des revues et photos osées. Au début cela me gênait mais je my suis habituée et jai même lu quelque uns de ses livres et admiré ses revues et photos osées. Cest grace à cela que jai pu voir des sexes dhommes et femmes en grand et en action. Au début jai été secouée et eu des envies et ma vulve mouillait dans mon slip, puis ça sest attenuée et enfin je ne les regardais plus. Seulement, quant je suis en pantalon, je sentais bien que mes fesses étaient serrées et bien moulées au regard des camarades et même des professeurs et autres hommes du voisinage.
Et justement, un jour, cest un jardinier de la résidence que jai découvert et qui observait mes rondeurs avec envie. En tout cas, il insistait dans ses regards mais nosait pas en parler. Mais moi, je ne savais pas pourquoi au début, cétait le seul dont les regards me troublaient. Quant je passais devant lui et le dépassais, je savais que son regard suivait avec insistance mon derrière et admirait mes fesses et je me sentais toute drole. Pire, ses reghards provoquaient des sortes de démangeaisons dans le cul et dans mon sexe. Et en effet, quant jarrivais dans ma chambre, je constatais, chaque fois que mon slip était tout mouillé. Jétais vierge mais comme javais beaucoup lu, surtout les livres érotiques de Zineb, je savais que cet homme, ce mâle avait envie de moi, de mon corps et surtout de ma vulve qui semblait répondre à son appel et jen avais un peu honte, une honte délicieuse. Mais, je recommençais à revoir les photos des sexes masculins et je me demandais si le zob du jardinier Tahar, cest comme ça quil sappelle, si son zob, et j'aimais me répéter ce mot agréable, était aussi gros et tendu et cela augmentait mon excitation. Mais aucun de nous deux nosa parler, ni même sapprocher de lautre. Pourtant je savais que plusieurs filles de lEcole, peut-être même la totalité, avaient des copains et que, suivant les rumeurs, la majorité des filles nétaient plus vierges. Je me demandais, j'étais presque sûre, si Tahar avait couché avec certaines de ces étudiantes. Jai alors abordé, discrètement le sujet avec ma copine Zineb et elle ma confirmée que cet homme avait la réputation davoir un gros zob et quil était un grand baiseur, et qu'il avait dépucelé en douceur plusieurs viérges, daprès les rumeurs féminines. Je savais qu'elle avait un autre copain mais pas Tahar, et je ne sais pas encore si elle était encore viérge. Jétais un peu déçue de savoir que Tahar lorgnait et baisait d'autres filles, peut-être choquée car javais espoir quil ne regardait que moi et mon cul.
Trois jours plus tard, jour de congé pour nous, au lieu de sortir de la résidence du coté de la ville, jai préféré passer de lautre coté, jardin. Je savais quil serait la bas car il logeait dans une sorte de grande cabane à deux pièces située, la bas sous les arbres, tout au fond du jardin. Comme je suis passé du coté des bisquets darbres, donc de ses cadanes, je lai découvert, assis par terre, en train de soigner un chat qui semblait blessé. Il me vit et libéra le chat puis se leva et sapprocha de moi. Il était seulement en pantalon et le torse nu, polu et semblait puissant. Jétais comme un automate, cétaient mes pieds qui mavaient enmenée et non ma raison et il le devinait. Il me prit la main et me guida à lintérieur dune de ses cabanes.
Il se baissa encore et recommença à me sucer la vulve, puis avec son doigt, il me branla les lèvres et le clitoris plusieurs fois jusquà ce que mon souffle saccéléra et mes halèments devenaient incontrolables. Jétais donc à point et ma vulve explosa de mouille. Déjà depuis un moment je sentais quelle mouillait à lintérieur et maintenant elle a pisé tellement que jen avais honte. Il me dit que jétais à point et tenant son zob à la main, il me caressa avec la vulve. Dabord les lèvres exterieures puis plus profond et le clitoris et je commençais à crier de plaisir et enfin il poussa sa queue fortement et je ressentit une brulure aigue mais brève. Je croyais que ce serait beaucoup plus dure et douloureux mais ce fut presque une petite piqure exciatante. Puis son zob se glissa plus profondément dans ma vulve et encore plus loin, je le sentais parfaitement et aça me faisait hurler de bonheur. Enfin, ses couilles heurtèrent mes cuisses par-dessous et jai compris quil m(avait pénétré entièrement. Son gros, jarge et très long zob était en moi, mavait complètement pénétré sans me faire vraiment mal et son contact me donnait déjà du plaisir. Je revoyais en pensée la tête, lénorme tête de son zob et jétais surprise quelle ait pu me pénétrer, me dépuceler et me faire maintenant des frottements de plaisir. Elle était à moi, maintenant, sa grosseur était un atout pour mon plaisir et je commençais moi-même à bouber du bassin comme pour inviter le zob à me pénétrer encore plus. Thar commença alors ses vas et viens, doucement dabord puis petit à petit, il acceléra. Il me regardait et suivait mon plaisir sur mon visage pour ralentir ou accelerer. Nous avons baisé ainsi longtemps puis il sortit son zob et minvita à le regarder. Me soulevant un peu jai pu le voir, énorme, gonflé à bloc et brillant, peut-être de son suc et de celui de ma vulve. En tout cas, un pieu énorme mais tellement excitant affolant et jai immédiatement ordonné à lhmme de le remettre à sa place. Alors, il se pointa à lentrée et dun poussée violente, il me pénétra jusquaux couilles et jai hurlé à fond et entouré ses reins de mes jambes et cuisses. Il recommença ses puissants vas et viens et ma jouissance devint continue. Enfin, jai eu mon premier orgasme avec un zob et ça ma étourdit un moment. Quant jai repris mes esprits, Tahar mouvementait son zob très doucement dans ma chatte, puis il redémarra ses mouvements vigoureux et accelérés. Cétaient des coups de reins qui me transperçaient et je pensais que son zob allait arriver à mon ventre et ça me rendait folle de jouissances et jai et soudain un second puis un troisième orgasme et le plaisir ne sest plus arrêté. J(ai fermé les amais je sentais lhomme qui me niquait, malaxait mes gros seins, me donnait des baisers sur le cou et sur la poitrine, suçait mes bouts e seins et les suçaient et tout cela me rendait cmplètement à sa merci ; abandonnée totalement. Ma chatte était latgement ouverte et jai pensé à mon cul espérant que Tahar tiendrait parole et me dnnerait aussi du plaisir de ce coté ci.
Enfin, il a du ressentir les débuts de son plaisir, alors il sortit son zob et se tenant à genoux au dessus de ma poitrine, il secoua et branla vigoureusement sa queue. Soudain, son éjaculaton arriva et le premier jet de sperme se projeta sur ma poitrine, mes seins et même un peu sur mon visage. Le second jet sétala sur ma poitrine et comme javais avancé ma main, le troisième jet la rempit de sperme chaud et visqueux. Jétais heureuse, dépucelée avec facilité par un homme dexpérience jai ressenti les effets agréables de la baise, du plaisir, des jouissances et plusieurs orgasmes étourdissants. Puis il se releva et me demanda si j »étais bien ou si javais mal. Je lui ai répondu, en lentourant de mes bras, en lembrassant fortement sur la bouche puis en allant empoigner, baiser et sucer le gros zob qui, malgré les trois éjaculations, était encore horizontal et assez dur. Il était prêt pour une seconde séance et jen voulais mais comme il me la conseillée, il fallait que jaille me nettoyer du sperme et au cas où il y avait un peu de sang mélangé à la mouille. Heureusement, il avait installé un bidet et un lavabo juste au fond de la chambre. Pendant que je me lavais, il sallongeale dos sur le lit. Son zob était pratiquement vertical et il le branlait doucement pour maintenir sa forme. Rapidement je lai rejointe et sans attendre et sans demander, je me suis assis sur ses cuisses et les miennes largement ouvertes, jai empoingné son zob et je lai guidé vers ma chatte. Il me laissa faire avec un sourire complice aux lèvres et moi jai enfoncé le zob dans ma chatte et je me suis assise doucement pour lenfoncer jusquaux couilles. Ça y ets je suis divenu spécialiste, dès ma première baise jai aimé le zob, du moins, ce zob la et jai espoir pour dautres. Puis me courbant et les mais sur sa poitrine, jai mouvemlenté mon bassin par des vas et viens du zob dans ma chatte. Je le ressentais dans ma grotte de plaisir et jéssayais de le guider là où ça me faisait le plus de plaisir, de démangeaisons agréables et je menfonçais totalement. Ce sont ces coups violents de mes reins aidés par ceux de Tahar et qui enfonçaient mieux le zob, ce sont ces gestes qui me sont les plus excitants et me daisaient hurler à fond et ma chatte explosa encore et encore par des orgasmes mouillés. Je pense quassise sur ce gros zob et le manipulant à mon aise, à ma guise jai du me faire facilement quatre ou cinq orgasmes plus ou moins forts. Ainsi, de cette manière je pouvais me donner plus de plaisir et jouissances quen étant coucher sur le ds et laissant lhomme me niquer à sa manière. Je retenais la leçon pour mes futures séances de chatte.
Et au bout dun moment, il me semblait que le zob se gonflait encore plus en largeur et sallongeait plus en moi et je lai dit à Tahar. Il ma informé que cétait les premisse de ses éjaculations, ses couilles ont préparé ce quil fallait et maintenant le zob commençait à ressentir les débuts du liquide. Dons, il fallait, hélas, quitter ce zob pour le laisser éjaculer. Mais jai eu une idée et je lui dit dessayer de me dépuceler tout de suite du cul et déjaculer dedant. Tahar fut étonné mais heureux et il approuva. Alors on sest disloqué et je me sui positionnée à genoux sur le lit et lui derrière moi et entre mes cuisses. Lui posant une question sur létat de son zob, il ma dit quil sétait calmé heureusement et quil ne ressentait plus les prémisses de léjaculation. Il fallait faire vite pour mouvrir le cul. De toute façon il ny avait auncun obscacle qui pourrait arrêter la pénétration de son zob. Il fallait seulement bien lubifier mon anus et son zob et sa sélive ne semblait pas suffire au début. En effet, il poussa un digt qui pénétra mais difficilement, puis impossible dajouter un second. Mais Tahar avait de lexpérience et des atouts ici même dans cette chambre où il a dépucelé plusieurs filles. Dun des tiroirs de la commode, il tira un flacon avec lequel il lubrifia lanus de La femme et son zob en même temps. Puis il essaya et le zob pénétra un peu mais mieux quavant. Il ajouta du lubrifiant et même au-delà de lanus, à lintérieur du cul, avec un et deux doigts. Puis il essaya de nouveau. Et cette fois, le cul souvrit facilement et le gros entra douicement, petit à petit. Layla gémissait car cela lui faisait plus mal que lors du dépucelage de sa chatte. Mais rapidement le zob pénétra jusquaux couilles et Tahar, tenant fermenent les hanches de la fille, fit quelques mouvements au bassin et à la Terma qui permirent au zob de sinstaller convenablement à linterieur du cul. Ils restètent un petit moment immobiles, Tahar interrogea la fille qui linvitait plutôt à senfoncer encore et à bouger car elle commençait à avoir une nouveau type de plaisir. Alors le jardinier démarra lentement puis crécendo ses vas et viens dans le cul de la fille. Rapidement les glissades devinrent normales, aisées, jouissantes pour les deux et leurs souffles devinrent druyants et accélérés. La fille hurlait à fond aussi bien que lorque zob lui frottait la chatte et lhomme semblait encore mieux disposé quauparavant. En effet, comme tout grand amateur de sexe, il préférait la sodomie à la baise, que ce soit dans la Terma dune fille ou dun homme. Dailleurs certains préféraient les culs masculins car souvent mieux serrés et serrant les zobs plus fortement que ceux des femmes. Mais enfin, chacun à ses gouts et plaisirs. Pour linstant Tahar était aux anges davoir dépucelé ce beau cul quil admirait souvent, bien serré dans son blue jean. Il limaginait, blanc, rond, dopux et profond et maintenant, effectivement, entre ses mains, devant ses yeux et à la merci de son gros zob, toutes ses rêveries, ses espérances se concrètisaient agréablement. Il avait un plaisir fou en senfonçant dans cette large Terma blanche et douce, ce cul profond et brulant de désir. Et rapidement son palsir arriva. Il ne fit rien pour larrêter, au contraire, il accéléra son rythme. Et soudain le premier jet de sperme explosa dans la Terma et le fit hurla bien fort. Houda ressentait déjà les nouveaux plaisirs du gros zob dans son fond et même dans sa chatte à travers la fine peau séparant le cul et la chatte et elle a eu, bien avant Tahar, un enième orgasme qui fit pisser sa chatte. Maintenant, elle reçut la soudaineté de lexplosion du sperme comme un choc chaud et visqueux et elle hurla encore plus fort que son amant. Et dun coup de rein aussi puissant que le premier, lhomme éjacula un second jet de sperme puis un trois ième et même un quatrième tous par coups de reins puissants accompagnés de hurlements des deux partenaires. Enfin, après le quatrième, Tahar resta un moment comme paralysé, collé aux fesses, puis il sécroula sur le dos de la fille qui ne put supporter son poidts et saplatit ventre sur le lit. Ils restèrent ainsi un long moment, pratiquement inconscienst, le zob de Tahar encore à lintérieur du cul de la fille. Ce nest que Houda, en se secouant qui réveilla Tahar de sa torpeur de jouissances, alors il se glissa sur le coté allongé sur le dos, le zob ramolli le long de ses cuisses. Houda ayant obtenu tous ses désirs, dans sa chatte et dans son cul, se leva et alla se nettoyer. Puis, laissant Tahar encore allongé et les yeux fermés, encore sous le choc des jouissances de son zob, elle se rhabilla et sen alla, sans un mot.
Elle rejoignit dabord sa chambre pour se déshabiller et admirer son corps, son nouveau corps. Elle avait encore du sperme dans son cul, sur ses fesses et cuisses. Elle mit ses doigts dans sa chatte et se pénétra à fond pour se convaincre que tout était pour dautres plaisirs sexuels. Puis elle alla prendre une douche. Le couloir séparait deux rangées de six chambres et au fond, à droite il y avait quatre douches avec portes et à gauche, quatre lavabos et quatre wc avec portes. Habillée de son peignoir, Houda palla prendre une longue et chaude douche puis retourna à sa chambre. Elle sallongea sur le lit, nue sous son peignoir et recommençait à rêver sur ce qui lui était arrivé avec le jardinier et rapidement, elle sendormit dune douce et agréable fatigue sexuelle.
Elle ne fut réveillée que trois ou quatre heures plus tards par son amie Zineb revenue de ville. Zineb setonna de trouver sa copine, endormie et nue et nétant pas allé en ville. Elle soupçonna quelque chose mais Houda navoua rien mais préféra lui dire quelle était malde à la tête et au ventre. Heureusement que Zineb la cru et elle est allé lui apporter, du foyer, un café chaud et un cachet daspro. Entre temps, Houda sest rhabillée, puis les deux amies sont allées diner au restaurant de la résidence.
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